Martin et Salvador sans bataille de mémoire L’Editorial de Titus FOLLY

Mon 1er s’appelle Martin. Son appel il y a 60 ans est encore d’actualité. Mon second a nom Salvador. Il y a 50 ans, il a préféré son pistolet que de se rendre à l’ennemi. Dans l’exercice de L’Editorial du jour, célébrons ces deux leaders qui ont su écrire l’histoire du monde.

«J’ai fait un rêve», s’exclamait le leader noir américain, Martin Luther King. Après son appel apologétique en date 28 août 1963, les ans sont passés et les siècles se sont également s’enchaînés. Cependant, 60 ans après, il y a de résolus adversaires qui torpillent les échos de son message surtout à cette rentrée académique et universitaire aux USA.

VOLONTÉ D’UN…

En effet, les nouvelles ne sont pas bonnes pour les étudiants Noirs américains. Ceux-ci doivent davantage faire face à des critères discriminatoires comme ce fut le cas dans les années de lutte de Martin Luther King.

Mieux, les étudiants Africains qui s’y rendent doivent s’attendre eux-aussi à d’énormes bouleversements.

Dans l’un ou l’autre des cas, il y a certains conservateurs et manitous du parti républicain. Les effets conjugués de leurs actions trouvent une certaine aisance juridique et légale à la Cour suprême américaine.

Conséquence, les acquis relatifs à l’émergence de l’élite des minorités sont de plus en plus chamboulés.

De quoi retourner Martin Luther King dans sa tombe à l’heure où le soleil américain tente de dessiner un destin sous forme de lugubre lune.

… RETOUR EN ARRIÈRE

Quant à mon second, il s’agit de Salvador Allende, l’ex président de Chili. Il s’est donné la mort il y a 50 ans en logeant personnellement une balle dans la tête. C’était le 11 septembre 1973.

« L’histoire appartient aux peuples qui l’écrivent..», tel était le dernier mot d’ordre de Salvador Allende avant de se donner la mort.

La suite dans l’exercice de L’Editorial de demain.

Site www.lafriqueenmarche.info du 13 septembre 2023 No 495

« La vie est belle. Et chaque jour est une vie. Prenons-là du bon côté et demain, il fera beau sur la grande route.».